« Heureux en ménage » ça s’apprend tout petit… (Acte 2)

Je fais suite à mon précédant article sur le fait que j’allais apprendre à déléguer les tâches ménagères à mes fils (et par la même occasion à mon mari) et je tombe sur une étude via internet : «  les enfants qui aident le plus à la maison par le biais des tâches ménagères réussissent le mieux dans la vie ».

Les faire participer très tôt à ce qui s’apparente pour eux comme des corvées développe leur sens de la responsabilité et leur apprend à faire des choses même quand ils n’en ont pas envie.

Sensibiliser ses enfants aux valeurs d’entraide et de solidarité c’est aussi leur apprendre à coopérer pour réussir ensemble. Se sentir utile et compétent, des qualités essentielles dans le monde du travail.

Donc je vais vite rattraper mon retard, ils savent déjà passer le balai, la microfibre, débarrasser, vider le lave-vaisselle et étendre le linge, le plus grand sait aussi repasser. Je vais leur demander de sortir plus souvent les poubelles ou de faire le ménage en plus. Ranger leur chambre, dresser leur lit, ce sont des petites tâches qu’un enfant (à fortiori un ado) peut faire aisément. Des petites tâches aujourd’hui qui peuvent avoir un grand impact sur l’adulte qu’ils seront demain. En leur confiant ces corvées, je vais leur montrer que certains travaux doivent être fait, je leur apprendrai le sens du travail d’équipe et de la coopération.

L’idée est de les rendre plus indépendants et plus débrouillards et ces corvées ne sont finalement pas si difficile que ça à faire appliquer, j’en suis convaincue.

D’autant plus qu’il n’y a pas de stéréotype à leur inculquer, même si la plus douée au ménage à la maison c’est moi (grâce en partie à mon #Vapodil), je ne veux pas qu’il démarre dans la vie avec l’idée qu’une femme fera le ménage chez eux.

Ils auront surement envie de s’installer avec quelqu’un un jour et le partage équitable et raisonnable des corvées doit être naturel. Ne dit-on pas « heureux en ménage » ? ça veut dire aussi vivons heureux sans que le ménage ne soit une corvée spécialement réservée à l’un plus qu’à l’autre.

De la parité au ménage ça oui ! car on sait bien les tensions que pourraient générer des inégalités à ce sujet. En plus, si on met le Vapodil entre les mains des jeunes gens, homme ou femme, le ménage ne sera plus jamais une corvée !

Carole - Région Parisienne