« Faire le ménage endommage les poumons des femmes », voilà ce que titrait le journal des DNA (Dernières Nouvelles d’Alsace), le 19/02/2018.
Faire le ménage serait mauvais pour notre santé ? On nous rabâche les oreilles avec la nécessité de vivre dans un foyer nettoyé, désinfecté, récuré en permanence et on nous apprend ensuite que, ce qui était censé nous « sauver » est ce qui va nous endommager ? C’est à n’y plus rien comprendre…
Et pourtant, c’est logique… Bien sûr que les bactéries, les microbes, les poussières et toutes ces choses que l’on chasse lors de nos séances de ménage, ne sont pas bonnes pour la santé. Mais inhaler des produits chimiques, le nez collé à l’éponge pendant que l’on récure et qu’on frotte, est encore moins bon.
L’article des DNA fait référence à une étude menée par des chercheurs de l’université de Bergen en Norvège, sur 6230 participants, suivis pendant plus de 20 ans, pour « vérifier l’impact des produits ménagers sur leur capacité respiratoire à long termes ». Sacrée étude ! On ne parle pas d’une simple analyse avant/après l’utilisation de produits d’entretien, mais bien d’une réelle étude scientifique, qui a d’ailleurs été publiée dans la revue « American Journal of Respiratory and Critical Care Medicine ».
Devant ces chiffres, devant cette étude, je me dis que la solution existe. Je me dis que certains d’entre nous l’ont régulièrement entre les mains. Cette solution d’un nettoyage efficace, facile et sain existe en réalité depuis plus de 10 ans.
Même l’un des responsables de l’étude l’explique dans les colonnes de l’AmericanThoracic society : « Un chiffon en microfibres et de l’eau sont plus que suffisants la plupart du temps ».
Ce n’est rien d’autre que le procédé de notre Vapodil : de l’eau montée à haute température et des microfibres. Rien d’autre, pas de produits toxique, chimique ou de parfum de synthèse. Simplement l’alliance entre le nettoyeur vapeur Vapodil et les microfibres Mesdi.
Alors, si même les scientifiques norvégiens sont d’accord, pourquoi vous priver ?
Julie - Alsace